Bilan du colloque

Les 28 et 29 octobre 2021 a eu lieu à l’UPVD le colloque scientifique international « Où va le travail social ? » organisé par le CORHIS et le Pôle recherche intervention sociale méditerranée (PRISOCM) en partenariat avec plusieurs institutions et associations : des acteurs du champ de la formation en travail social dont les Instituts Régionaux du Travail Social de Perpignan et Montpellier, de Marseille Paca et Corse, de Rouen-Normandie, des écoles du travail social d’Occitanie comme Erasme et l’Ifrass à Toulouse mais aussi le réseau national UNAFORIS qui regroupe plus de 108 centres de formation en travail social et a saisi toute l’importance de cette manifestation scientifique ; plusieurs institutions et associations issus du monde universitaire et de la recherche comme l’Université de Perpignan qui nous accueille aujourd’hui mais aussi l’Université de Toulouse 2 Jean-Jaurès, l’Université Paul Valéry Montpellier, le Réseau Thématique 3 « Normes, déviances et réactions sociales » de l’Association française de sociologie (AFS), le Comité de recherche « Identité, espace et politique » de l’Association internationale des sociologues de langue française (AISLF), La Maison des Sciences de l’Homme SUD (MSH SUD) et l’Association des Chercheurs des Organismes de la Formation et de l’Intervention Sociales (ACOFIS) soutenue par l’IDS-Normandie sur lesquels nous nous sommes largement appuyé pour assurer les aspects techniques d’une telle manifestation. Au niveau local, ce colloque a aussi bénéficié de l’engagement de plusieurs partenaires professionnels dont l’association Joseph Sauvy, l’ADEPEP 66 ou l’ACAL. A noter également le soutien financier de la Région Occitanie.

Cette conférence a réuni (deux conférences plénières, plusieurs sessions d’ateliers thématiques et 3 symposiums organisées en parallèle ainsi que d’une table ronde) près de 400 personnes et 106 communicants dont plusieurs sociologues reconnues comme François Dubet, Michel Wieviorka, Michel Chauvière… qui se sont demandé à quelles conditions les acteurs de l’intervention sociale, de la formation et de la recherche peuvent-ils participer au développement d’un travail social émancipateur ?